jeudi 3 octobre 2019

La toile du monde


4ème de couv' :

La toile du monde possède le souffle sensuel et l’énergie des grands romans qui plient la réalité aux dimensions du rêve. Rêve de liberté d’une femme venue d’un autre monde, rêve de métamorphose du Paris de 1900, décor de l’Exposition universelle. Après Trois mille chevaux-vapeur et Équateur, Antonin Varenne signe une œuvre saisissante et confirme la singularité de son talent.

Aileen Bowman, trente-cinq ans, journaliste, célibataire, est venue couvrir l’événement pour le New York Tribune. Née d’un baroudeur anglais et d’une française utopiste, élevée dans le décor sauvage des plaines du Nevada, Aileen est un être affranchi de tout lien et de toute morale, mue par sa passion et ses idéaux humanistes. Au fil d’un récit qui nous immerge au cœur de la ville en chantier, du métropolitain naissant aux quartiers des bordels chers aux peintres, la personnalité singulière d’Aileen se confond avec la ville lumière. Un portrait en miroir qui dessine la toile du monde, de l’Europe à l’Amérique, du XIXe et au XXe siècle, du passé d’Aileen à un destin qu’elle n’imagine pas.


La toile du monde
Antonin Varenne
Éditions Albin Michel

Mon avis

📖 📖 📖 / 5

Aileen jeune journaliste, femme dérangeante et avant-gardiste (elle porte des pantalons malgré l'interdiction pour son époque) part pour Paris pour un reportage sur l'exposition universelle.
Elle profite de ce voyage pour partir à la recherche des origines de sa mère française et accessoirement retrouver un de ses frères qui avait embarqué pour Paris dans le spectacle far west Pawnee Bill's Show.
Antonin Varenne nous offre une grande fresque sur l'exposition universelle qui se déroule à Paris en 1900. Nous découvrons ainsi la "ville lumière" d'une autre manière.
Un roman sulfureux et intéressant à découvrir.


Bonne lecture !!! 

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