vendredi 28 août 2015

La fractale des raviolis


4ème de couv' :

«"Je suis désolé, ma chérie, je l’ai sautée par inadvertance." Je comprends que l’on puisse sauter une femme par dépit, par vengeance, par pitié, par compassion, par curiosité, par habitude, par intérêt, par gourmandise, et même parfois par amour. Par inadvertance, ça non.»

Comment se venger d’un mari volage? En l’empoisonnant avec son plat préféré. Mais rien ne se passe comme prévu et c’est tout un engrenage qui se met en place.

Un premier roman gigogne d’une inventivité rare, qui nous fait voyager dans l’espace et le temps.




Mon avis :

Tout débute par la narratrice et son mari Marc. Celui-ci lui avoue l'avoir trompée "par inadvertance" (après avoir été pris sur le fait).
Pour se venger elle décide de l'assassiner en mettant du poison dans les raviolis qu'ils vont déguster lors du déjeuner. Sauf qu'au moment de se mettre à table, rien ne se passe comme prévu...

Je ne connaissais pas Pierre Raufast. C'est lors de mes vacances qu'une amie m'en a parlé alors qu'elle venait de finir de lire La variante chilienne (du même auteur).
Donc à mon retour, je me suis lancée dans la lecture de La fractale des raviolis. Autant vous dire j'ai beaucoup aimé.
Un récit distrayant que j'ai pris plaisir à découvrir. De l'invasion des rat-taupes en passant par l'achat d'herbes de Provence très particulières, La fractale des raviolis est une succession d'histoires toutes reliées entre elles avec pour fil rouge le passé de l'héroïne.

Bref un roman très bien tourné et sympathique à ne pas manquer !


Bonne lecture !!!

P.S : vous pouvez découvrir le blog de Pierre Raufast ici

mardi 25 août 2015

Les Nocturnes ‪#‎avecgeorgeslangthelastdj‬

Aujourd'hui je vais pousser un gros COUP DE GUEULE.
ce qui est rare ici
car je pars du principe que mon blog est juste un lieu où je partage mes coups de coeur.

Mais vous connaissez mon amour pour la musique (celles et ceux qui m'ont aidé à déménager l'an dernier s'en souviennent encore...).
Certes cette passion me vient de mon père, de mon parrain et de mes oncles.
Mais elle vient aussi d'une émission : Les Nocturnes diffusé depuis 41 ans sur RTL et de son présentateur : Georges Lang.



Sticker vintage de 1974


Donc l'origine de ma colère est celle-ci :

Le samedi 22 août 2015, la nouvelle grille des programmes a été présentée et STUPEUR... au lieu de 3 heures de Nocturnes (diffusée de minuit à 3h du matin), RTL en programme plus qu'une. Et le vendredi soir plus de W Country. Et tout ça au profit de rediffusions d'émissions qui ont eu lieu dans la journée sur cette radio.

Je n'avais pas encore fait d'article car j'attendais d'entendre hier soir la réaction du principal intéressé. Et le début de l'émission m'a bien fait comprendre que ce n'était pas une volonté de sa part. Mais, toujours en bon professionnel qu'il est, il l'a fait très subtilement malgré son manque d'engouement dans sa voix (alors que c'est la Rentrée !)

Pour celles et ceux qui ne connaissent pas, Les Nocturnes c'est une voix mythique : celle de Georges Lang. C'est une des seules émissions à diffuser de la Pop et du Rock anglo-américain des années 70, 80, 90 et même d'aujourd'hui.

Donc fini le Power Play (une chanson coup de coeur ou un extrait d'un nouvel album qui était diffusé 1 fois par heure dans l'émission), fini les chansons qui durent 12 minutes car il n'y avait que dans cette émission là que je pouvais les écouter. Et autant vous dire, avec plus qu'1heure d'émission Georges Lang ne va pas passer un Fool's overture de Supertramp, ni un Child in time de Deep Purple ou même encore Sirius et Eye in the sky à la suite (de Alan Parsons Project).

Mais nous, auditeurs et auditrices des Nocturnes nous n'avons pas dit notre dernier mot.
Une pétition est laissée sur la toile depuis quelques jours.
Allez la signer : http://avecgeorgeslang.wesign.it/fr

Je sais qu'il y a plusieurs nationalités qui suivent mon blog, vous pouvez la signer aussi.

Et comme le dit si bien Georges "tomorrow is another day".



lundi 24 août 2015

Top 5 des sorties de la semaine

Cette semaine

Le retour de Lisbeth Salander
Un liseur
Une histoire vraie
La disparition d'un avion 
Un couple mythique


Millenium 4
Ce qui ne me tue pas
David Lagercrantz
éditions Actes Sud



Le liseur du 6h27
Jean-Paul Didierlaurent
éditions Folio
coup de coeur ici



D'après une histoire vraie
Delphine de Vigan
éditions JC Lattès



Constellation
Adrien Bosc
éditions Livre de Poche



Oona & Salinger
Frédéric Beigbeder
éditions Livre de Poche
coup de coeur ici



Bonne lecture !!!

jeudi 20 août 2015

Djibouti


4ème de couv' :

« C’est demain, se répète Markus, que je rentre à Paris... » Pour sa dernière nuit africaine, le jeune militaire se jette à corps perdu dans Djibouti, son implacable désert, son désordre étourdissant, ses putains redoutables, et sa faune de soldats fous d’ivresse et de solitude. Entre violence brute et errance onirique dans les bas-fonds de la ville, Pierre Deram met à nu la bouleversante férocité des rapports humains.

À Djibouti, berceau de l’humanité et barque de perdition, prostituées et légionnaires sont les mêmes enfants de la violence et de la beauté...




Mon avis :

C'est l'histoire de Markus, jeune militaire français à Djibouti. Le livre débute par sa dernière nuit là-bas.
Au cours de son périple nocturne il se remémore son court séjour (6 mois) là-bas. Ses rencontres, ses missions, ses soirées avec les autres militaires.
Le lecteur prend de plein fouet l'atmosphère oppressante des lieux. Un récit qui alterne anecdotes, mélancolies et nostalgie.
L'auteur utilise une certaine brutalité des mots pour décrire la violence des lieux et la violence des actes.
Pierre Deram nous offre un premier roman très court (114 pages) mais bien élaboré.


Bonne lecture !!!

mercredi 19 août 2015

Vie et Mort de Sophie Stark


4ème de couv' :

"Sophie comprenait beaucoup mieux les gens, et la façon de les manipuler, qu'elle ne le laissait paraître. Au moment même où j'ai ouvert la porte, elle a su qu'elle pouvait faire de moi ce qu'elle voulait."

Allison vient de quitter sa Virginie natale pour New York. Elle travaille dans un bar et n'a aucune ambition, aucun avenir. Puis elle rencontre Sophie Stark, une jeune réalisatrice décidée à faire d'elle une star. Daniel, ancien champion de basket, se remet d'un terrible accident de voiture. Ses retrouvailles avec Sophie Stark, son amour de jeunesse, lui redonnent le goût de vivre. La carrière de George, producteur hollywoodien, est au point mort. Pour renouer avec le succès, il décide d'appeler Sophie Stark, étoile montante du cinéma indépendant. Artiste passionnée, géniale et insaisissable, Sophie transforme et transcende la vie de ceux qui croisent sa route. Pour le meilleur et pour le pire.





Mon avis :

La narratrice mélange réalité et fiction, elle raconte comment elle a fait connaissance de Sophie Stark, réalisatrice hors norme qui a marqué le cinéma indépendant.
Chaque chapitre est avec un personnage différent qui nous en apprend un peu plus sur sa vie. Chacun des personnages a rencontré et partagé un moment de leur vie avec la réalisatrice. Mais ses réalisations sont sa seule raison de vivre.

Avec un style d'écriture mordant, Anna North nous offre un roman percutant, une histoire forte et originale. Une narration très bien menée qui permettent au lecteur d'accrocher dès les premières pages. On adore découvrir cette vie non conforme par ceux qui l'ont côtoyée.


Bonne lecture !!!




lundi 17 août 2015

Top 5 des sorties de la semaine


Voici un tout petit échantillon des sorties de cette semaine
Vous pouvez également retrouver tous mes coups de coeur 
pour cette Rentrée Littéraire 2015 ici


La Terre qui penche
Carole Martinez
éditions Gallimard



Le crime du comte Neville
Amélie Nothomb
éditions Albin Michel

Là où tombe la pluie
Catherine Chanter
éditions Les Escales
coup de coeur ici



La septième fonction du langage
Laurent Binet
éditions Grasset



Boussole
Mathias Enard
éditions Actes Sud



Bonne lecture !!!


mercredi 12 août 2015

L'oiseau du bon dieu


4ème de couv' :

En 1856, Henry Shakleford, douze ans, traîne avec insouciance sa condition de jeune esclave noir. Jusqu'à ce que le légendaire abolitionniste John Brown débarque en ville avec sa bande de renégats. Henry se retrouve alors libéré malgré lui et embarque à la suite de ce chef illuminé qui le prend pour une fille. Affublé d'une robe et d'un bonnet, le jeune garçon sera brinquebalé des forêts où campent les révoltés aux salons des philanthropes en passant par les bordels de l'Ouest, traversant quelques unes des heures les plus marquantes du XIXème siècle américain.
Dans cette épopée romanesque inventive et désopilante, récompensé par le prestigieux National Book Award en 2013, James McBride revisite avec un humour féroce et une verve truculente l'histoire de son pays et de l'un de ses héros les plus méconnus.




Mon avis :

Voici le parcours d'Henry Shackleford, jeune esclave noir qui se retrouve entraîné, malgré lui, dans le sillage du fameux abolitionniste John Brown. 
Au grand désespoir d'Henry, John le prend pour une fille. Au fil du voyage il doit cacher, avec difficultés, sa véritable nature. S'ensuit alors une série de quiproquos qui le mettra dans des situations absurdes ou délicates.

L'auteur nous entraîne dans un périple au coeur de l'Amérique du XIXème siècle où Henry n'en sortira pas complètement indemne.
Une ambiance western dans l'Amérique d'avant-guerre de Sécession, de nombreux rebondissements, un personnage charismatique font de ce roman d'aventure une histoire très divertissante.

Bref une belle épopée américaine à découvrir !!!

Bonne lecture !!!

mardi 11 août 2015

Le renversement des pôles


4ème de couv' :

Couple : deux personnes de la même espèce considérées ensemble.
Couples en vacances avec enfants : spécimen d'un genre particulier qui attend l'été avec impatience mais qui risque fort de finir la tête dans le sable.
Les Bourdon et les Laforêt ont loué deux appartements voisins dans une résidence avec piscine en bord de mer. Chacun est arrivé avec la même envie : consacrer ce temps béni aux enfants, au repos, aux projets. Et tous sont rattrapés par leurs obsessions propres : fuir un mari ennuyeux, gagner vite plus d'argent, faire oublier qu'on a pris dix kilos, faire semblant que tout va bien. Passée l'euphorie de l'échappée belle, ils ne tarderont pas à découvrir que changer de vie a un prix, que la liberté exige du souffle et qu'elle ne s'achète jamais à bon compte.




Mon avis :

Le lecteur suit les pérégrinations de deux couples en vacances : les Bourdon et les Laforêt.
En apparence, ces deux familles de classe moyenne sont heureux et biens sous tout rapport, mais en apparence seulement...
Ici les vacances sont synonymes de grande mascarade.

Avec une écriture vive et incisive, Nathalie Côte nous livre une vision acide et très cynique du couple. On prend plaisir à découvrir leurs petits travers en espérant qu'une seule chose : qu'on ne leur ressemble pas. Mais certains travers sont universels.

Malgré un final légèrement décevant (pour moi), Le renversement des pôles est un bon premier roman à découvrir lors de cette rentrée littéraire.


Bonne lecture !!!

vendredi 7 août 2015

La maladroite


4ème de couv' :

"Je voudrais me rappeler Diana, mieux que je ne peux en vrai. Je voudrais me rappeler tout ce que Diana et moi nous n'avons jamais fait ensemble, comme si nous l'avions fait. Parfois j'écoute des musiques de notre enfance, et je voudrais que la musique me la rappelle, mais la musique ne me rappelle rien, parce que nous n'étions pas ensemble, nous n'avons pas vécu la même enfance

Diana, 8 ans, a disparu. Ceux qui l'ont approchée dans sa courte vie viennent prendre la parole et nous dire ce qui s'est noué sous leurs yeux. Institutions, médecins, gendarmes, assistantes sociales, grand-mère, tante et demi-frère...
Ce choeur de voix, écrit dans une langue dégagée de tout effet de style, est d'une authenticité à couper le souffle. Un premier roman d'une rare nécessité.



Mon avis :

"La maladroite" c'est Diana, petite fille de 8 ans, que le personnel enseignant soupçonne d'être maltraitée. Mais ce ne sont que des soupçons car, lorsqu'ils évoquent ces blessures avec Diana, celle-ci répond toujours "je suis très maladroite".
On découvre avec stupeur la perversité du système...

Alexandre Seurat nous offre un premier roman, certes court (seulement 122 pages), mais tellement fort dans les propos.
L'intrigue est très bien ficelée.
Les différents narrateurs évoquent les faits avec la plus grande simplicité même si le cas de Diana est complexe. Le lecteur ressent en même temps qu'eux un certain malaise, très souvent de la frustration, et même par moment une certaine confusion au vue des circonstances.

Un premier roman particulièrement bien réussi et bouleversant.
A découvrir sans plus tarder !

Bonne lecture !!!


jeudi 6 août 2015

La vie selon Florence Gordon


4ème de couv' :

Florence Gordon est directe, brillante, acariâtre et passionnée. Maîtresse femme, elle est capable de réduire les imbéciles au silence d'une seule de ses piques acérées.
Icône féministe aux yeux des jeunes filles, invisible au reste du monde, à soixante-quinze ans, elle a mérité -enfin!- de se délester du fardeau des autres pour se consacrer à son oeuvre. Mais à peine a-t-elle débuté ses mémoires, si longtemps différés, que sa quiétude est menacée par l'arrivée de sa famille.
Son fils Daniel, qui fait son désespoir depuis qu'il a intégré la police, revient s'installer à New York avec sa femme, Janine, et sa fille, Emily. Florence se retrouve alors impliquée bien malgré elle dans leurs mélodrames familiaux qui vont assombrir ses journées et menacer son rempart de solitude.
Sans parler de son pied gauche, qui commence à la faire boiter...



Mon avis :

Florence Gordon, féministe de renommée nationale est aussi une femme directe, acariâtre et dure envers les autres et, surtout envers les membres de sa famille.
Lorsque l'histoire commence, Florence s'apprête à se rendre au restaurant, plus précisément à l'occasion de son anniversaire surprise organisé par ses amies et sa famille. Bien qu'heureuse de l'attention, elle délaisse l'ensemble des invités pour rentrer chez elle. Florence n'a pas de temps à leur consacrer, elle vient de débuter la grande oeuvre de sa vie : l'écriture de ses mémoires.
Mais l'arrivée de son fils Daniel et de sa famille à New York va perturber cette écriture...

Un roman choral à l'humour grinçant où se mêlent choc des générations et drames familiaux.
Le lecteur s'attache à chaque personnage, même celui de Florence Gordon qu'on adore détester.

Une comédie cinglante et pleine d'esprit sur notre époque que j'ai aimé découvrir.


Bonne lecture !!!


lundi 3 août 2015

J'ai vu un homme


4ème de couv' :

Que fait Michael Turner dans la maison de ses voisins en leur absence ? Pourquoi s'attarder ainsi sur les photos de famille, les dessins d'enfants ?
Depuis la disparition de sa femme Caroline, journaliste tuée au Pakistan, il vit à Londres. En un éclair, Michael est entré dans l'existence des Nelson : il est l'ami idéal, le confident dévoué.
Presque trop.
A des kilomètres de là, dans le désert du Nevada, le commandant McCullen est traversé de remords. Caroline est morte par sa faute. D'autres innocents injustement tombés ont émaillé sa carrière. Mais cette fois, il ne parvient pas à s'en remettre.




Mon avis :

Michael Turner, écrivain d'un best seller, vient d'emménager à  Londres. Il sympathise immédiatement avec Josh et Samantha, ses voisins. Michael est veuf depuis peu. Sa femme Caroline était grand reporter et a été tué au Pakistan, dommage collatéral comme ils disent.
Dès le début on remarque la grande capacité d'immersion de Michael et sa faculté de provoquer les confidences.
Jusqu'au jour où un événement dramatique survient...
Michael entre alors dans un engrenage de mensonge et de honte mais aussi de suspicion quand il s'aperçoit qu'il n'est pas le seul à mentir...Mais est-ce que toute vérité est bonne à dire ?

Mensonge, honte, pardon sont les ingrédients de cette histoire. Owen Sheers nous emmène dans les méandres d'une relation à trois et dans la reconstruction de soi pendant un deuil.
Un roman sans prétention qui se laisse lire.


Bonne lecture !!!

samedi 1 août 2015

Là où tombe la pluie


4ème de couv' :

Accusée de meurtre, Ruth Ardingly est assignée à résidence. Enfermée, rejetée de tous, elle entreprend de reconstruire le puzzle de la tragédie qui a détruit son mariage et sa famille.
Quelques années auparavant, Ruth et son mari Mark quittent Londres pour fuir les souvenirs et reconstruire leur vie. Ils emménagent à La Source, la maison de leur rêve. Tandis que le monde fait face à une sécheresse hors du commun, leur propriété est mystérieusement épargnée. Le couple s'attire la jalousie de ses voisins agriculteurs, la curiosité du gouvernement mais aussi le fanatisme d'une secte, La Rose de Jéricho, dirigée par une femme étrange, Amelia.

Ses membres s'insinuent dans la vie de Ruth et Mark, de leur fille, Angie, et de leur petit-fils, Lucien. L'emprise d'Amelia sur Ruth grandit de jour en jour, au grand désarroi de son mari. Les relations s'enveniment entre les habitants de La Source, la tension monte et atteint son point culminant avec un crime odieux. Le meurtrier se cache parmi ses plus proches confidents, Ruth en est sûre.

Seule dans cette enclave, elle se décide à affronter ses plus grandes peurs pour comprendre ce qu'il s'est vraiment passé cette nuit-là à La Source.



Mon avis :

L'histoire débute lorsque la narratrice sort de prison et est assignée à résidence, chez elle, à La Source. La seule condition : sa propriété est temporairement utilisée à des fins de recherches et de développement.
Lors de cette première journée de "liberté" elle se remémore comment tout cela a commencé : son départ de Londres avec son mari Mark pour emménager à La Source, la réussite de leurs récoltes, la jalousie des gens locaux qui s'intensifie, les relations tendues avec sa fille, son amour presque maternel pour son petit-fils Lucien et l'arrivée de la Secte de la Rose de Jericho à La Source...

Ruth se pose de nombreuses questions, auxquelles elle n'a pas forcément toutes les réponses. Elle pense à tous ces moments pour ne pas oublier pourquoi elle a été emprisonnée, pour tenter de rattraper des souvenirs qui ont tendance à disparaître et, surtout, pour connaître enfin la vérité sur ce drame survenu au domaine de La Source.

Un premier roman bouleversant et très réussi, avec une intrigue palpitante sur les travers du genre humain. 
Là où tombe la pluie est un roman qui ne vous laissera pas indifférent.


Bonne lecture !!!