La Famille Middlestein

4ème de couv' :

Grandeur et décadence d'une famille juive de Chicago, confrontée à l'appétit dévorant d'une mère. Best-seller du New York Times, dans la lignée de Jonathan Franzen, un livre universel sur le mariage, la filiation et l'obsession de notre société pour la nourriture, porté par un humour aussi cinglant que désopilant, et une humanité débordante.

Bienvenue chez les Middlestein, une famille au bord de la crise de nerfs, depuis que Edie, la mère, risque d'y passer si elle ne prend pas au sérieux ses problèmes d'obésité. Cerise sur le gâteau, le père la quitte pour découvrir à soixante ans les affres du speed dating.
Une trahison impardonnable pour leur célibataire invétérée de fille, un rebondissement que voudrait oublier le fils fumant son joint quotidien, si sa femme ne s'était mis en tête de sauver Edie à base de cours de Pilates et de Weight Watchers... quand elle n'est pas en train d'obliger leurs jumeaux à réviser leur chorégraphie hip-hop pour leur bar-mitsvah !
Une question taraude toutefois les Middlestein : et s'ils étaient tous un peu responsables du sort d'Edie ?

Une ronde de personnages à la fois tragique et jubilatoire pour un roman addictif, à dévorer d'une traite !

Mon avis :

Sur un ton humoristique La Famille Middlestein décrit les travers de la société de consommation américaine.

Suite à la seconde intervention chirurgicale de la mère (qui est obèse), tout part de travers dans cette famille juive américaine. Le mari choisit ce moment pour la quitter, la belle-fille veut reprendre la santé de sa belle-mère en main, le fils est dominé par sa femme et la fille se cherche. Bref des personnages très atypiques.

Les rancoeurs des uns et des autres, les remises en question, les remises en question font de ce roman un ouvrage très satirique.

L'auteur alterne les points de vue des différents personnages et c'est assez cinglant !

Une bonne lecture, dépaysante qui se lit facilement.

Bonne lecture !!!